Vie à bord Q5 II (2017)

  Fiches Q5 II  

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Habitabilité / Coffre

Pour que vous ayez des repère, il faut bien prendre en compte que le Q5 est une sorte d'Audi A4 Avant (break) surélevée. Car si le Q5 paraît parfois être gros pour certains, il ne faut pas non plus espérer un espace gigantesque pour accueillir du monde. L'espace au deuxième rang est donc relativement spacieux mais ce n'est pas non plus des plus adapté à une famille nombreuse. L'espace aux jambes se limite à des personnes au gabarits "normaux", les plus grands sentiront un manque d'espace. Quant à la place centrale arrière c'est comme d'habitude, une sorte de siège qui a semble-t-il préféré vivre la vie d'un accoudoir ... Bref, c'est raide et étroit.

Niveau coffre c'est plutôt très satisfaisant avec 550 litres (455 litres en hybride TFSIe) sous tablette (et donc un peu plus si vous chargez au dessus), de quoi quasiment rassasier les besoins de tous. La banquette coulissante en option à un peu plus de 400 euros (un peu pingre chez Audi ...) permet d'aller jusqu'à 610 litres quand elle est avancée au maximum, mais dans ce cas l'espace disponible aux jambes pour les passagers devient très limitée bien qu'elle reste encore exploitable comparée à certains SUV urbains.

Modularité

Si la banquette coulissante optionnelle apporte un vrai plus pour moduler l'habitacle selon les besoins (rapport entre volume de coffre et volume pour les passagers), on peut toutefois rester un poil sur notre faim concernant le rabattement de cette fameuse banquette. Cette dernière n'offre en effet pas un plancher parfaitement plat bien que la pente soit tout de même très modeste.

Confort

Niveau insonorisation ce Q5 de deuxième génération fait assez fort, et le résultat est convaincant en essence comme en diesel. Les TDI ont donc été bien muselés et il n'y a donc pas à avoir d'appréhension de les adopter.
Concernant le confort de suspension, il est bon mais relativement standard avec le châssis classique à amortisseurs passifs et ressorts métalliques hélicoïdaux), modulable avec l'amortissement piloté (1190 euros) et clairement plus confortable avec la suspension pneumatique (2350 euros). Difficile donc de faire un bilan global si ce n'est qu'on peut affirmer qu'il n'est jamais exagérément souple quelque soit la version.

Finition / présentation

Contrairement aux A4 et Q7, on évite d'employer les longues bouches d'aérations parcourant toute la planche de bord. Pour ma part je trouve ça heureux et préfère cette présentation quitte à être un peu plus conventionnelle. Il manque tout de même peut-être d'un peu de chaleur et d'aspérité et les intérieurs sont majoritairement sombres. Et même si les matériaux "nobles" ont été revus à la hausse en terme de quantité, l'ambiance générale reste encore assez portée sur le plastique (et sous la ligne de "flottaison" les plastiques deviennent durs). Les blocs intégrant les contrôles de vitres électriques sont aussi un peu décevants, ils manquent de qualité perçue et rappellent ceux des années 2000. En revanche, des pièces comme le pommeau de BVA, ou même plus globalement la console horizontale entre les occupants de l'avant, sont vraiment très réussies.
Le très convaincant et inégalé Virtual Cokcpit est ici de série à partir du deuxième niveau de finition. C'est véritablement quelque chose à avoir car il change en partie l'expérience de conduite. La définition de l'écran et les couleurs sont dignes d'une écran Retina d'Apple, c'est pour dire ...

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Synthèse de vos avis sur la vie à bord

Confort global : 3 aiment 2 n'aiment pas

Confort des sièges : 2 n'aiment pas

Insonorisation et bruit perçu : 5 aiment

Bruit d'air : 1 aime

Finition / qualité des plastiques : 2 aiment 1 n'aime pas

Habitabilité : 1 aime

Volume de coffre : 2 aiment 1 n'aime pas

Volume du réservoir : 1 n'aime pas

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