Si la première Insignia était loin d'être carencée niveau habitabilité, cette deuxième génération a quand^même voulu encore aller vers le haut. L'empattement allongé de 9 cm en est la première cause et on a désormais un espace qui devient vraiment généreux. Et si elle n'atteint pas les recordman de la catégorie (Série 3 GT, Skoda Superb etc.), elle se positionne désormais très bien et peut s'enorgueillir de pouvoir accueillir sans soucis de grands adultes. Bien évidemment, comme toute berline qui se respecte (et surtout celles qui sont déclinées en 4X4), il y a toujours ce fameux tunnel central qui vient largement gêner les pieds du passager arrière central. Et bien évidemment c'est sans compter la place centrale qui ne ressemble pas à un siège (c'est donc inconfortable).
Habitabilité 2ème rang : | |
Volume de coffre (490 L) : | |
Insignia Sports Tourer (560 L) : | |
Confort de suspension : | |
Confort Amort. Pilot? : | |
Confort GSi 260 : | |
Finition / Présentation : | |
Infodivertissement : | |
Places assises : | |
Empattement * : |
* : l'empattement est un indice important sur l'habitabilité
Quelques véhicules proches :
A4 / Serie 6 GT / A5 Sportback II / Serie 3 / Classe E / Serie 5 / Serie 7 / A6
Niveau coffre on fait cependant marche arrière puisqu'il perd 40 litres (490 maintenant contre 530 sur l'ancienne) ... Très mal venu sachant que l'auto est bien plus longue ! Le problème est aussi qu'en passant sous la barre symbolique des 500 litres j'ai peur que beaucoup la fuient. Le break se rattrape avec 560 litres si on omet l'espace encore disponible au dessus de la plage arrière.
Version berline Grand Sport
Version break Sports Tourer
S'agissant d'une "auto raison" la modularité n'a pas été laissée au hasard. Elle reste donc classique mais efficace avec une banquette arrière fractionnable en trois parties ainsi qu'un plancher quasi plat une fois les sièges intégrés au plancher.
Version berline Grand Sport
Break Sports Tourer
Que ce soit avec le châssis piloté ou non, le confort de suspension de l'Insignia se révèle très bon, il est même meilleur que sur l'ancienne. L'amortissement piloté permet d'avoir un mode confort très souple, chose que l'on ne retrouve pas forcément partout. Evidemment, et quelque soit le châssis (passif ou pas) on commencera à répercuter les imperfections de manière plus prononcée sur les versions à partir de 18 pouces.
En revanche niveau insonorisation ça reste un peu moyen ... Et si cela vous importe (écouter la radio sur l'autoroute sans insonorisation est pénible) vous pouvez opter pour l'option à 300 euros permettant un feuilletage plus épais des vitrages.
Toujours sérieuse chez Opel, la qualité de finition est ici honorable. Je note cependant que la version précédente en restylée semblait un peu meilleure tandis que la phase 1 faisait moins bien. On se retrouve donc avec une sorte de stagnation et les critiques se concentrent surtout vers le laquage noir très présent et quelques rares soucis d'assemblages.
Notez aussi que les entrées de gamme sont moins valorisantes avec leur écran plus petit entouré d'une plastique peu raffiné. Les versions plus haut de gamme ont même droit à un "presque Virtual Cockpit", c'est à dire qu'une grande partie des compteurs sont digitaux. Bref, l'intérieur est bon mais pas de quoi marquer ... Surtout que la présentation fait un peu trop classiques à une époque où les constructeurs cherchent à faire plus d'efforts en terme d'originalité.
Coffre du break : 560 litres. L'insignia Sports Tourer mesure 9 cm de plus sachant qu'il est de plus en plus fréquent que les breaks soient aussi longs que les berlines. En Sports Tourer, l'Insignia devient donc vraiment encombrante ... Elle peut en revanche accueillir 560 litres contre 490 pour la version standard. Notez que ces 560 litres peuvent encore évoluer si vous utilisez l'espace au dessus de la tablette.
Sujets pris au hasard
© CopyRights Fiches-auto.fr 2024. Tous droits de reproductions réservés.
Nous contacter - Mentions légales