Posté le : 2017-05-15 21:47:51
Utilisation du véhicule : 100% route
Qualités : Grande simplicité, donc entretien facile (vidange-filtre 1/4 d'heure), pièces peu coûteuses, pas d'électronique, tenue de route "karting" et toucher de route (assistance de direction hydraulique légère), confort, mécanique indestructible, finition soignée qui vieillit bien (phase 2 AM 99), visibilité, position de conduite pour conducteur grand gabarit (3 portes), châssis économe en pneumatiques (100000 km en MICHELIN).
-frein moteur puissant offrant un agrément de conduite exceptionnel sur routes encombrées
Défauts :
-Un peu molle en atmosphérique, pour ma part c'était un choix pour gagner en longévité ... et en PV
-Pièces difficiles à trouver en casse,
-pare-chocs fragiles (plastique cassant et ensemble trop vulnérable avec la peinture intégrale , phase 2)
-Mon exemplaire "Commerciale Dérivée VP" est monté en 13 pouces ce qui s'avère parfois juste sur les ronds-points sous la pluie.
Consommation moyenne : 5 litres/100km
Problèmes rencontrés :
Acquisition bon marché en 2014 à 218000, CT par mes soins OK (!), avec un embrayage très fatigué
-D'entrée pour sécuriser l'ensemble : disques-plaquettes et tous les silent-blocs des triangles + toutes les rotules remplacés (notifiés "détérioration mineure" au CT),
-Embrayage remplacé à 270000,
-Distribution à 220000 et 340000, avec tendeurs et galet la deuxième fois,
-Freins arrières à 340000,
-4 amortisseurs à 300000
-Joint du cache-culbuteur à 370000,
-seule panne franche : prise d'air sur porte-filtre à gas-oil avec impossibilité de réamorcer le circuit, porte-filtre remplacé à 300000.
Note : 19/20
Prix assurance : 290 euros/an (Assureur : MAIF ) (type de contrat : TOUT RISQUE) (Bonus/Malus : 50 %)
Achetée 500 ¤ en 2014, bientôt 200000 km parcourus en 3 ans pour 3000¤ d'entretien environ... difficile de trouver mieux.
Le DW8 (issu du XUD avec quelques pièces en mouvement allégées et une gestion admission/échappement par linguets en lieu et place des antiques culbuteurs, pour passer les nouvelles normes pollution à l'époque) est aussi fiable que son prédécesseur à condition de respecter le temps de chauffe (2000 tr/min <70°), il est plus silencieux aussi (enfin bon moins bruyant suivant les avis :-)
En diesel les exemplaires affichant plus de 600000 km sont nombreux. Il reste donc de nombreuses 306 en circulation, et la concurrence est rude en casse pour trouver de bonnes pièces (dont beaucoup ne sont plus fabriquées)
Le diesel de tracteur claque certes un peu plus que nos haute pression régulées électroniquement d'aujourd'hui.
Sans turbo mais avec sa boite courte (version commerciale dérivée VP), la 306 se défend très bien en circulation normale.
Le recours au freinage est superflu la plupart du temps, la voiture ralentit au moindre lever de pied et s'arrête presque si vous prenez la peine de rétrograder (plaquettes à peine entamées après 180000 km, je roule "à l'ancienne" très anticipé en intégrant les consignes écoconduite).
La finition est simple, efficace avec des plastiques moussés de bonne facture. Ca n'a pas bougé après 18 ans et 400000 KM.
Aménagement intérieur de qualité et bien ajusté.
Tablettes arrières (intégrale avec chassis métallique, pas de banquette arrière) moquettée intégralement avec une épaisseur double de celle de ma voiture précédente, une 307 1.4 hdi qui ne supporte pas la comparaison à tous points de vue...
(Tri par ordre de longueur de l'avis)
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